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11 janvier 2005 
 
Un rapport de l'Institut Polaris établit des liens troublants entre Frank McKenna et le groupe Carlyle 
 
OTTAWA, le 11 janv. /CNW Telbec/ - L'Institut Polaris demande au premier 
ministre Paul Martin de permettre au Parlement de reconsidérer la nomination 
de Frank McKenna au poste d'ambassadeur du Canada aux Etats-Unis, à la lumière 
des liens unissant l'ancien premier ministre provincial au groupe Carlyle, 
société d'investissement de Washington (DC) qui suscite la controverse. 
Le groupe de recherche voué à la défense de l'intérêt public a dévoilé 
aujourd'hui son rapport intitulé : "The McKenna File: A Preliminary Assessment 
of Prime Minister Paul Martin's choice of Frank McKenna as Canada's next 
Ambassador to the United States". 
"La présence de Frank McKenna au sein d'une société américaine 
d'investissement dirigée par de puissants membres du Parti républicain, qui 
ont occupé des postes de haut pouvoir à la Maison-Blanche, au Pentagone et à 
la CIA, devrait préoccuper les Canadiens", a déclaré Steven Staples, de 
l'Institut Polaris et auteur du rapport. 
Le groupe Carlyle gère un actif qui représente des investissements de 
plus de 18,9 milliards de dollars. Ces investissements proviennent notamment 
de sociétés des secteurs de l'aérospatiale, des télécommunications, de la 
défense et de la sécurité intérieure. Nombre de ces entreprises ont grandement 
bénéficié de la hausse spectaculaire des dépenses militaires américaines 
survenue après les événements du 11 septembre 2001. 
"Beaucoup de questions demeurent sans réponses en ce qui concerne les 
opinions de Frank McKenna sur les relations entre le Canada et les Etats- 
Unis", a déclaré Tony Clarke, directeur de l'Institut Polaris. "Le premier 
ministre devrait donner l'occasion à un comité parlementaire de reconsidérer 
cette nomination et de poser des questions à M. McKenna ainsi qu'à d'autres 
personnes, si nécessaire, avant de confirmer de manière définitive M. McKenna 
dans ses nouvelles fonctions." 
 
 
Sources : Lien vers http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/January2005/11/c1800.html> 
 
17 décembre 2004 
 
L'ancienne filiale de Vivendi a été l'objet de curieuses tractations. La justice a ouvert une enquête  
 
Manoeuvres en eaux troubles autour de Veolia 
 
En fin de semaine dernière, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur des manoeuvres qui auraient eu lieu ces derniers mois autour de Veolia Environnement. Ces investigations confiées à la brigade financière font suite à la plainte déposée par cette ancienne filiale de Vivendi.  
 
Jeudi 9 décembre. De façon surprenante, Vivendi Universal (VU) cède 15es 20,4'actions qu'elle détient dans Veolia Environnement (VE) pour une somme estimée à 1,5 milliard d'euros (voir Le Figaro Economie du 10 décembre). Le «coup» est doublement inattendu. Non seulement la cession était fixée depuis longtemps au 26 décembre, mais surtout Jean-René Fourtou, PDG de VU, déclarait quelques jours plus tôt à la presse : «Je ne suis pas pressé de vendre et je n'ai pas besoin d'argent tout de suite.» 
 
Pourquoi cette soudaine accélération ? L'entourage de Jean-René Fourtou explique cette décision comme «le simple résultat d'une analyse financière» et souligne que le montage «était préparé depuis deux semaines en collaboration étroite avec Henri Proglio (PDG de Veolia)». La réalité est moins simple. Un mystérieux homme d'affaires du nom d'Ayachi Ajroudi n'est probablement pas étranger à l'opération du 9 décembre. 
 
Le premier épisode se déroule à la fin du mois de mai dernier. En marge d'un colloque à l'Institut du monde arabe, Emmanuel Petit, directeur délégué de Veolia pour le Moyen-Orient, interpelle Alain Marsaud. Ancien magistrat, directeur de l'analyse et de la prospective chez Vivendi à l'époque de Jean-Marie Messier, écarté par Jean-René Fourtou, Marsaud, outre sa fonction de député UMP, reste un homme d'influence. Ce jour-là,Emmanuel Petit s'adresse d'ailleurs à l'élu parce que ce dernier préside le groupe d'amitiés parlementaires France-Emirats arabes unis et qu'il est administrateur de la Sidem, filiale de Veolia spécialisée dans le dessalement d'eau de mer, très présente dans le Golfe. Il cherche à le convaincre d'arranger un rendez-vous entre Henri Proglio et le prince saoudien al-Walid en vue de créer une société de production d'eau composée à 51e capitaux français et à 49e capitaux arabes. Pour le convaincre de la solidité du projet, Petit propose à Marsaud de rencontrer un certain Ayachi Ajroudi. Ce Franco-Tunisien est présenté comme un mandataire du prince, mais aussi comme le gestionnaire de diverses fortunes royales de la région où il représenterait également le fonds de pension américain Carlyle. 
 
 
Quelques jours plus tard, le 24 mai, les trois hommes se retrouvent à déjeuner à l'Assemblée nationale afin d'évoquer la création de la fameuse société – baptisée Veolia Middle West –, mais surtout d'évoquer le rendez-vous Proglio - al-Walid. Alain Marsaud, qui n'est pas proche du patron de Veolia, craint de ne pouvoir intercéder. A cette fin, il présente Alexandre Djouri à ses deux convives. Homme d'affaires franco-algérien riche, influent et discret, très bien implanté en Afrique, ce dernier fréquente Henri Proglio depuis le milieu des années 80. Les deux hommes entretiennent des relations de confiance. 
 
Tous conviennent de se retrouver début juin à l'hôtel George-V à Paris, propriété du prince al-Walid, pour la rencontre avec Henri Proglio. Le jour venu, le patron de Veolia est présent au rendez-vous. Mais le prince n'y est pas, empêché, d'après Ajroudi, par une «crise de tics». Si les différents participants livrent des versions aussi différentes que savoureuses des discussions qui auraient suivi, il semble en réalité que la rencontre ait rapidement tourné court. Le projet semblait alors condamné. 
 
 
Le deuxième épisode se déroule au cours de l'été. Il commence par une rumeur selon laquelle Ajroudi voudrait acquérir les 20ue Vivendi détient dans Veolia. L'affaire devient plus sérieuse lorsque celui-ci brandit une lettre du directeur financier de VU qui atteste d'une discussion avec Ayachi Ajroudi au sujet des 20Proglio soupçonne une opération destinée à le déstabiliser. Alors qu'Ayachi Ajroudi se prévaut de l'appui des plus hautes autorités de l'Etat, l'entourage du patron de Veolia n'écarte pas non plus une manoeuvre politique. Six mois plus tard, il semble cependant qu'Ajroudi ne disposait en fait d'aucun appui politique sérieux. 
 
Chez Veolia, l'été est agité. Un courriel est diffusé aux cadres du groupe leur interdisant tout contact avec Ajroudi. Emmanuel Petit, qui a pris fait et cause pour l'homme d'affaires, est licencié. Mais on n'est pas encore au bout de la confusion. Au mois de juillet, Ajroudi réclame 96 000 euros à Veolia en remboursement des frais engagés pour créer la filiale Middle West. Les services de Proglio lui opposent une fin de non-recevoir : ils considèrent cette démarche comme une tentative d'escroquerie.  
 
 
Pourtant, la somme sera versée malgré tout par un ordre de virement faxé à un responsable financier, un samedi matin, de la poste de la rue du Louvre à Paris... Pour avoir donné les consignes du paiement, un autre cadre sera licencié. Enfin, le climat va encore s'alourdir quand des accusations de menaces de mort seront lancées, notamment par Emmanuel Petit dont la maison aurait été souillée par des graffitis inquiétants. 
 
La justice est désormais saisie de ces différents faits. Emmanuel Petit a également déposé plainte à Paris pour de supposées commissions occultes, choisissant au passage d'écrire au juge Philippe Courroye... Veolia, de son côté, a engagé des poursuites pour le paiement de 96 000 euros qu'elle considère indu. 
 
 
Le troisième épisode a lieu le 6 octobre au soir, dans la suite 625 du George-V, où est installé Ayachi Ajroudi. Dans sa chambre d'hôtel, il a réuni Emmanuel Petit, un professeur de droit dont le fils conseille un haut dirigeant français et un avocat. Celui-ci s'éclipse discrètement quand Alexandre Djouri apparaît suivi de Laurent Obadia, un proche de Marsaud. Le ton monte et Obadia doit séparer Djouri et Ajroudi qui sont prêts à en venir aux mains. «Quel but poursuis-tu ?, demande le premier. Pour qui tu travailles ? – Calme-toi ! Le juge Courroye nous dira la vérité», répond le second. 
 
 
La prise de bec n'aurait pas quitté le huis clos du palace si Ayachi Ajroudi n'avait alerté la police. Alexandre Djouri est alors placé en garde à vue, rejoint plus tard et à sa propre initiative par Laurent Obadia. Rien de concret ne sortira des interrogatoires et confrontations. Les policiers constateront le lendemain, malgré un certificat médical, qu'Ayachi Ajroudi ne porte aucune trace apparente de coups. Bien que cette altercation n'ait pas de suite judiciaire, elle a donné une publicité supplémentaire à l'affaire. Alain Marsaud, dont le rôle semble limité aux présentations initiales, doit néanmoins faire face à diverses accusations lancées par Ajroudi et Petit. Il a décidé lui aussi de saisir la justice. 
 
 
Beaucoup mettent ces tumultueux épisodes sur le compte de l'inimitié entre Fourtou et Proglio. Mais des questions demeurent. Qui est Ayachi Ajroudi et pourquoi s'est-il retrouvé au coeur de l'affaire ? Cet été, il a bel et bien rencontré Jean-René Fourtou. A deux reprises, selon un conseiller du PDG de VU. Ajroudi se serait véritablement porté acquéreur des 20e Veolia qui, selon le même conseiller, lui avaient valu de détenir une «lettre type» de la direction financière expliquant que sa proposition serait prise en compte s'il avait une «garantie bancaire de premier rang». «Une garantie qu'il n'a jamais fournie», précise la même source.  
 
D'après ce proche de Fourtou, Ajroudi aurait été utilisé comme un «aiguillon pour faire de la surenchère», jurant qu'à aucun moment le PDG de Vivendi n'a envisagé de céder à des «capitaux étrangers» cette héritière de la Compagnie générale des eaux. 
 
Ayachi Ajroudi, lui, semble avoir collaboré avec diverses sociétés dans le golfe Persique. Mais ses relations et son influence dans les milieux économiques comme dans certains cercles politiques arabes semblent incertaines. 
 
Dans ce contexte et malgré l'opération du 9 décembre, différentes sources affirment que les luttes d'influence continuent autour de Veolia. Un proche de Jean-René Fourtou expliquait d'ailleurs il y a quelques jours, sibyllin : «Ou cette histoire est une affaire de Pieds Nickelés ou il s'agit d'une affaire d'Etat mêlant politiques et services secrets.» Un imbroglio que la brigade financière va désormais tenter de démêler. 
 
Sources : Lien vers http://www.lefigaro.fr/france/20041217.FIG0262.html> 
9 décembre 2004 
 
Le PDG et la directrice générale du cartonnier Otor mis en examen 
Le président et la directrice générale du groupe cartonnier français Otor ont été mis en examen jeudi à Paris dans le cadre d'une enquête sur des malversations financières présumées au sein du groupe, a-t-on appris de source proche du dossier. 
 
Jean-Yves Bacques et Michèle Bouvier sont poursuivis pour "abus de biens sociaux et usage de faux" par les juges d'instruction Jacques Gazeaux et Evelyne Picard, a-t-on précisé de source proche du dossier. 
 
Ils sont tous deux ressortis libres du pôle financier du Palais de justice de Paris, sous contrôle judiciaire et avec l'obligation de payer une caution de 300.000 euros chacun. 
 
Il leur est reproché le paiement de diverses factures à un des commissaires aux comptes de la société entre 2002 et 2003, factures qui ne seraient pas en lien direct avec le seul travail de contrôle de ce commissaire. 
 
D'autres factures imputées sur les comptes sociaux d'Otor (émises notamment par une société de veille média et un cabinet d'audit) ont aussi été retenues par les juges comme charges, en ce qu'elles auraient dû être prises en charge par les dirigeants eux mêmes et non par leur société, car elles concernaient leur défense personnelle contre Carlyle Group, a-t-on ajouté de source proche du dossier. 
 
"Cette mise en examen apparaît infondée de a à z. Elle nous donnera l'occasion de fournir toutes les explications qui permettront de réduire à néant ces charges et de mieux comprendre la raison obscure de l'origine de cette procédure", a déclaré à l'AFP l'avocat de M. Bacques, Me Hervé Témime. 
 
Les mises en examen des dirigeants d'Otor, qui sont également les principaux actionnaires du groupe, sont un nouvel épisode de la farouche bataille qui les oppose depuis 2001 au fonds d'investissement américain Carlyle Group pour le contrôle de la société spécialisée dans l'emballage. 
 
Carlyle, qui était entré en 2000 dans le capital du groupe à hauteur de 20nviron, souhaite appliquer une clause lui permettant de devenir majoritaire en cas de non respect par Otor de certains seuils de rentabilité. 
 
Otor accuse pour sa part Carlyle de vouloir "faire main basse sur le groupe pour mieux le dépecer afin de réaliser une plus-value gigantesque", selon un communiqué publié mercredi. 
 
© 2004 AFP  
 
sources : Lien vers http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=74612>

(c) Adriana EVANGELIZT - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 12.01.2005
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