ARK NETWORK reference.ch · populus.ch    
 

  VERITANCE 

 Home  | Livre d'Or  | Album-Photo  

 

 

Rubriques

BUSH II 2005
LA FOI DE BUSH
ELECTION 2004
ELECTORAT 1
ELECTORAT 2
RENSEIGNEMENT
L'ENVIRONNEMENT
FRAUDE 2004
AFGHANISTAN 1
GUANTANAMO
IRAK EUROPE
MASSACRE EN IRAK
IRAK TORTURES 1
BUSH ET L'ONU
BUSH ET L'ISLAM
BUSH ET L'EUROPE
BUSH FILS A PAPA
BUSH TRICHEUR
BUSH CONSTAT
BUSH CHANTAGE
BEN LADEN NEWS
BUSH BEN LADEN
BUSH BEN LADEN 2
BUSH BEN LADEN 3
BUSH AL-QAÏDA
AL-QAÏDA
ZARQUAOUI NEWS
ZARQAOUI 1
ZARQAOUI 2
ZARQAOUI 3
ZARQAOUI 4
TRUCAGE ELECTION
BUSH KERRY
KERRY
BUSH RELIGION I
BUSH RELIGION II
11 SEPTEMBRE I
11 SEPTEMBRE II
BUSH ISRAËL
BUSH SHARON
IRAK REVOLTE
BUSH IRAK
RECONSTRUCTION
COÛT DE L'IRAK
PILLAGE EN IRAK
PILLAGE IRAK 2
BUSH ONU
BUSH SOLDATS
BUSH BLAIR
BUSH ET LA PEUR
BUSH ELECTION I
BUSH ELECTION 2
FRAUDE ELECTION
FRAUDE ELECTION2
PORTRAIT DE BUSH
BUSH ET LA COKE
LE QI DE BUSH
BUSH MAGOUILLEUR
W AMI DES RICHES
BUSH LOBBIES 1
LES RAPACES
BERNARD KERIK
CONDOLEEZA RICE
RUMSFELD NEWS
RUMSFELD 1
CHENEY LE DIABLE
CHENEY NEWS
CHENEY 1
HALLIBURTON 0
HALLIBURTON 1
HALLIBURTON 2
HALLIBURTON 3
HALLIBURTON 4
HALLIBURTON 5
HALLIBURTON NEWS
CARLYLE NEWS
CARLYLE 1
CARLYLE 2
EXXON MOBIL
SHELL
BP-AMOCCO
CHEVRON TEXACO
ENRON
PAUL WOLFOWICZ
ELLIOTT ABRAMS
JAMES BAKER III
JOHN NEGROPONTE
KARL ROVE
JOHN BOLTON
TOM KOROLOGOS
FONDAMENTALISME
ELECTION 2000
DES HORS LA LOI
C.I.A
SHELL INFOS
CHUTE DU DOLLAR
LE BOUCLIER

 

Liens


UN COUP MONTE DE TOUTES PIECES...

La Vérité finit toujours par se savoir... et un jour nous l'apprendrons. Car il y a forcément un certain nombre de personnes qui ont oeuvré pour que le 11 septembre soit. Pour nous, pas de problèmes, Cheney et Rumsfeld sont les têtes de pont de ce plan diabolique. La Mission de ces deux individus calculateurs est de s'enrichir sur le dos de l'Etat Américain puis sur le dos du monde entier. Cheney étant bien sûr le plus dangereux des deux. Pour attaquer l'Afghanistan puis l'Irak, il fallait un mobile... Rumsfeld s'est fait visionnaire en annonçant peu de temps avant la catastrophe qu'elle allait avoir lieu. Bush devait certainement être au courant de ce qui allait advenir d'où son comportement équivoque dans la salle de classe... ils ont fait comme Hitler pour le Reischtag... ni plus ni moins... et depuis, les évènements n'en finissent plus de faire sombrer le monde dans le chaos 
 

 
 
LE SILENCE DES MEDIAS 
 
Un abîme, le néant, un immense gouffre de silence emprisonne la vérité sur les innommables évènements du 11 septembre 2001. C'est dramatique, révoltant, immoral et cruel à la fois. Personne ne se sent encore dupé par cette honteuse machination élevée au plus haut rang hiérarchique de l'Exécutif des États-Unis. Cependant, plus de deux années après ces attentats diaboliques, aucune investigation sérieuse et objective des services de sécurité US n'a abouti sur des conclusions convaincantes. Même la presse mondiale dite libre, occidentale en particulier, n'a daigné analyser ou enquêter en profondeur sur ce terrible crime, se rendant par-là coupable de complicité avec la plus abjecte conspiration jamais organisée par un Gouvernement des États-Unis d'Amérique.  
 
Quelques écrivains ont bien attiré l'attention de l'opinion publique sur les réelles circonstances de ces évènements, mais ils ont vite été qualifiés de révisionnistes, de négationnistes, voire dans les meilleurs cas, de fantasques, "d'hurluberlus souffrant de la paranoïa aiguë" et de charlatans, par de nombreux et "grands journalistes". Pourtant, ces écrivains apportent des arguments sérieux et difficilement réfutables tout en exposant leur réputation à la vindicte d'éventuelles sanctions, néanmoins ils ne sont nullement suicidaires. Leurs recherches, leurs analyses et leurs synthèses, qui se rejoignent souvent, dérangent parce-qu'elles remettent en cause la thèse officielle largement répandue par les autorités américaines et certains lobby's. Ils commentent des évidences et des convictions que plusieurs médias pervers s'acharnent à discréditer, à ridiculiser. Mais Bon Dieu, ces écrivains risquent tout en décrivant par leurs ouvrages, seuls et désarmés, une approche véridique sur ce crime diabolique du 11 septembre 2001!  
 
En face, ces "grands journalistes" corrompus et désinformateurs, poltrons et manipulateurs seraient grandement inspirés d'exercer leurs talents, empreints de négritude plumitive, à l'endroit de leurs souffleurs maléfiques en exigeant d'eux une véritable investigation indépendante sur l'affaire du 11 septembre. A la suite de quoi ils seront surpris, tels des chiens trempés avec la queue entre les fesses, sur l'étendue criminelle de leur langue de bois et de leurs mensonges honteux, ignobles et crétins. Ces "grands journalistes" préfèrent-ils plutôt s'octroyer le droit léonin et monolithique de représenter une inavouable parodie de démocratie, cette pensée uniforme, totalitaire et dictatoriale qui chatouille les aisselles nauséabondes de la gouvernance mondiale "made in USA and Co", au détriment des valeurs humaines universelles ? 
 
Cette hypocrite duplicité fait penser au silence médiatique qui prévalait lors de l'accession au pouvoir du régime fasciste nazi, dans l'Allemagne des années 1930-1936, grâce en partie à la « généreuse contribution financière » de plusieurs hommes d'affaires américains dont Prescott Bush, le grand-père de l'actuel Président des États-Unis, George W. Bush
. On sait ce qu'il advint de notre Monde quelques années plus tard...  
 
Auschwitz-Birkenau, un ensemble de lettres qui provoque des frémissements d'angoisse et d'émotions insoutenables. Dans ce complexe carcéral inhumain de la seconde guerre mondiale, où s'appliquait en silence le fameux programme morbide pour la « solution finale », des détenus furent embrigadés de force comme main d'œuvre gratuite par les Entreprises et les banques américaines liées au régime nazi. C'est ainsi que prospéra à Oswiecim, un petit village près d'Auschwitz, une usine appartenant à Prescott Bush, en plus de ses acquis bancaires et industriels en Allemagne, en Hollande et aux USA. Le petit-fils de ce dernier, Georges W. Bush, a accepté sans états d'âme l'héritage provenant de ce sinistre patrimoine. La fortune de la famille Bush provient donc, en partie, de la sueur et de la souffrance des malheureux pensionnaires des camps de la mort ! (source:Thom Saint-Pierre). Seulement là, l'absence de réprobations reste de rigueur dans les cercles juifs, au sein des puissantes Organisations de défense Judéo-Américaines contre l'anti-sémitisme
 
 
 
BUSH S'AUTORISE LE NON-DROIT
 
 
En 2002, le Président des États-Unis d'Amérique ordonna l'ouverture d'un camps de prisonniers à Guantanamo, sur l'île de Cuba. Des prisonniers afghans, provenant soit d'Afghanistan continuellement bombardé ou de la prison de Karachi au Pakistan, ont été « déportés » par avions-cargo, modernité oblige, pour y être incarcérés sans jugement ni défense, dans la négation et le mépris des lois internationales issues de la Convention de Genève. Quelque 660 afghans, même des enfants de quinze ans, sont détenus à Guantanamo. Ils sont cantonnés en l'absence de tout cadre juridique. Certains parmi eux font l'objet de tortures infligées par l'armée US, tandis que d'autres vont certainement être condamnés à la peine de mort par un tribunal d'exception américain ! Amnesty International, Défenseurs et Organisations de protection des droits de l'homme ne cessent de manifester leurs protestations, mais en vain. 
 
Le Conseil de sécurité des Nations Unies, en réaction aux évènements du 11 septembre 2001, a voté la Résolution portant le numéro 1368. Cette Résolution précise en particulier:« Le Conseil de sécurité appelle tous les États à travailler ensemble pour traduire en justice les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces attaques terroristes et souligne que ceux qui portent la responsabilité d'aider, soutenir et héberger les auteurs, organisateurs et commanditaires de ces actes devront rendre des comptes. » Il autorise également: « Le droit inhérent à la légitime défense individuelle ou collective conformément à la Charte des Nations Unies. » 
 
Dans ce cadre légal et international, il appartient logiquement à tout journaliste d'investigation, ou tout organe de presse libre, d'engager des recherches et d'enquêter objectivement sur les circonstances réelles qui ont concrétisé ces attentats. Or, c'est tout le contraire qui s'est produit. La quasi-majorité des médias occidentaux s'est contentée non seulement de suivre mais aussi de brocarder, même de renouer avec les vertus ignobles de la propagande, dans le sens de la thèse officielle américaine, s'acoquinant par-là avec la plus gigantesque, la plus cruelle et la plus abjecte manipulation en ce début de vingt et unième siècle
 
 
 
LE MENSONGE AU PEUPLE
 
 
Que fait-on du devoir de vérité pour le respect de la condition humaine, envers tous les morts, les disparus, les blessés, les handicapés à vie, les familles et les proches, envers toutes ces victimes de « l'holocauste » du 11 septembre 2001 et de ses conséquences sur les populations du Moyen-Orient et d'Asie centrale ? Doit-on se taire avec la honte en guise de couverture? Doit-on baisser les yeux, telle une fillette violée par l'inceste, devant les répercutions qui se sont produites et qui se produiront encore et bientôt ? Doit-on abandonner le peuple américain apeuré et craintif dans l'ignorance ? Doit-on le laisser otage malgré lui du pouvoir aventuriste de l'Exécutif des États-Unis ? Le sacrilège n'est pas le fruit de nos pensées, notre culture ne s'arrête pas sur la gâchette ni sur notre compte bancaire, encore moins dans nos greniers. 
 
Selon le quotidien de Fribourg « La Liberté » du 7 mars 2002, des scientifiques américains ont découvert récemment une nouvelle psychose collective aux États-Unis. Cette pathologie est décrite comme suit: (...) C'est une forme de pensée unique qui non seulement refuse d'accepter toute autre version des événements que la sienne, mais qui agit de façon à empêcher toute interrogation même face à des contradictions flagrantes que la pensée unique s'avère incapable d'expliquer. Ceux qui persistent à penser en dehors du groupe doivent être écartés, isolés, dénigrés, voire éliminés.  
 
Certes, la promulgation du « Patriot Act » par l'Administration américaine au lendemain des attentats de New-York et Washington, réduit sensiblement la liberté de la presse qui ne s'exprime plus que d'une seule voix, à présent, dans cette Nation où la démocratie se rétrécit chaque jour comme un pénis frigorifié. Dans les faits, Patriot Act un décret Présidentiel restrictif des libertés civiles, n'est que le préambule du « Mein Kampf » de Georges W. Bush édité en Septembre 2002 sous le titre « The National Sécurity Stratégy of the United States Of América », un programme d'actions stratégiques, politico-militaires et économiques, pour le court et moyen terme. C'est en quelque sorte un état de guerre permanent organisé selon les idées fascistes maintes fois déclarées par Zbigniew Brzezinski et Henry Kissinger. Mais il faut espérer que ce n'est pas cela qui empêchera la vérité à se frayer un chemin pour s'exposer à la lumière de l'humanité
 
 
"Car il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu." 
 
Luc 12 :2 
 
Qu'est devenue cette Amérique qui a tant fait rêver, qui a tant épaté et tant excité les passions ? C'est une autre Amérique qui inquiète le Monde, à présent elle fait peur ! Le 10 octobre 2002: Le général Anthony Zinni, ancien chef du Commandement central de l'armée américaine, a déclaré dans son discours au Middle East Institute de Washington : « J'ai quelques héros. L'un d'eux est George C. Marshall, un grand général qui nous a conduit, pendant une grande guerre, vers la victoire. Regardez ce que ce général a fait après la guerre. Il n'a pas cherché à mener d'autres guerres. Il n'a pas cherché à laisser les choses en l'état - un état qui génère de nouvelles guerres. Regardez le général MacArthur au Japon - un homme qui avait subi Bataan et Corregidor, qui avait perdu tant de ses soldats contre un ennemi terrifiant - et l'aide qu'il s'est efforcé d'apporter au peuple japonais, la façon dont il a utilisé d'autres moyens pour recréer la stabilité, la prospérité. Considérez les généraux Grant et Lee (de la guerre de Sécession américaine) ; Grant voulait la reddition la plus douce possible, où la dignité fut préservée, où l'amitié et les contacts puissent reprendre. Robert E. Lee n'a pas voulu se réfugier dans les collines pour mener une guérilla. Il savait que le temps était venu de guérir, et ce de la meilleure manière possible. Le général George Washington, qui évita une deuxième guerre avec l'Angleterre, en dépit de tous ceux qui le pressaient d'aller au combat une deuxième fois - un homme qui était passé par les tourments de la guerre à la tête de l'Armée continentale. Le général Eisenhower, qui ne voyait pas de solution en Indochine s'il s'y engageait, alors que les Français étaient impliqués avec le Viet Minh. Il y voyait une stratégie perdante, même si tout le monde parlait des obstacles qui tomberaient comme des dominos. » 
 
Puis il ajouta: «Comme ces généraux, qui sont bien plus grands que moi, je ne pense pas que la violence et la guerre soient la solution. Il y a des moments où, en dernier ressort, à contre-cœur, vous devez partir en guerre. 
 
Mais en tant que général ayant vu la guerre de près, je vous dis que je n'ai jamais vu, à l'issue du combat de mon époque, quoi que ce soit qui ait justifié ce conflit. Je suis sûr que mon frère qui a servi en Corée, mes cousins qui ont servi dans le Pacifique et en Europe pendant la Deuxième Guerre mondiale, mon père, qui avait combattu pour ce pays pendant la Première Guerre mondiale, et les autres 12immigrés italiens qui étaient dans l'infanterie... ont sans doute une opinion différente de leurs guerres. Mes guerres, celles que j'ai vues, ont été mal menées. » 
 
A travers les flammes dantesques des Twin Tower, ce mardi 11 septembre 2001, la silhouette menaçante du spectre maléfique est apparue, annonçant un désordre mondial lourd de conséquences et le chaos incontrôlable à l'échelle planétaire. Mêlant stupeur et angoisse, le monde entier paralysé par une subite léthargie se noya involontairement dans une incrédulité enfantine et irresponsable. 
 
Ces attentats à New York et Washington, attribués trop diligemment et intentionnellement à des groupes terroristes islamistes, avaient un but bien précis, une stratégie bien établie. Ce crime odieux a été soigneusement étudié et préparé, durant plusieurs mois, par un pouvoir secret démoniaque, avide et sournois, qui influe lourdement sur l'administration d'État aux USA, mais avec la complaisance de nombreux hauts responsables du Parti Républicain, du Président Georges W. Bush, du Gouvernement des États-Unis d'Amérique et de son hérésiarque Pentagone. Le prétentieux, l'orgueilleux s'associant avec l'exécrable scélérat qui agit dans l'ombre des ténèbres.  
 
 
 
REPETITION DU DECLIN DES CIVILISATIONS

 
L'histoire, souvent vraie et tragique, a une fâcheuse tendance à reproduire périodiquement et cycliquement ce qu'elle a observé et consigné dans les tables du passé, en narguant l'amnésie des peuples qui se succèdent à eux-mêmes, dans une insouciance inconsciente et naïve
Cette histoire nous enseigne qu'aucune civilisation, depuis la création de notre univers, n'a su ou n'a pu profiter de son développement et de sa puissance, pour perdurer indéfiniment dans le temps et dans la paix. Toutes les civilisations se sont pratiquement auto-détruites en ayant chacune à son tour, tenté de régenter le monde par la force et la brutalité
 
Les civilisations antiques ont elles aussi été attirées par cette jouissance, aveugle et perverse, qu'est ce sentiment irrésistible du pouvoir et de la gouvernance, ce désir insatiable du faste, de l'opulence et de l'omnipotence. Face à cela, le sacrifice humain n'était qu'une broutille, le destin accablant et perpétuel des plus faibles et des démunis. 
 
Babylone, jadis le berceau de l'humanité, située sur la rive est de l'Euphrate, à environ 50 km au sud de la ville actuelle de Bagdad, en Irak, fut le cœur d'une des premières civilisations dominantes, plus de deux mille ans avant JC. Une des particularités, en dehors de ses magnifiques jardins suspendus dans cette splendide cité, ont été les Ziggourats, ces tours-temples atteignant des hauteurs telles qu'elles ont certainement alimenté le mythe de la tour de Babel destinée, elle, à atteindre le ciel en défiance au Créateur de l'Univers. La Bible, décrira ce symbole de la corruption et de la décadence, conservera le souvenir et le prestige qui survécurent à sa chute. Ce fut une civilisation trois fois millénaire qui s'éteignit.  
 
De Babylone à Alexandrie, de Rome à Berlin, la déchéance et la ruine ont déjà frappé aux portes. Washington et certaines capitales parmi ses Nations satellites seront-elles les prochaines à subir une telle destinée ? C'est probable si les États-Unis le Royaume-Uni et Israël, des alliés inconditionnels, ne parviennent à inhiber leur expansionnisme aventureux, belliqueux et irréfléchi
.  
 
Non, la pensée ici n'a absolument aucune prétention malveillante, anti-sémite ou anti-américaine, toute réaction contraire à cela serait malvenue et totalement absurde. La libre expression, la critique ou l'opposition à des idées, à des prises de positions, à des lobbying ou à des actes politiques et militaires, ne doivent en aucune manière permettre la réduction à une traduction primaire extrémiste ou xénophobe. A bon entendeur... 
 
AFGHANISTAN PREMIERE CIBLE STRATEGIQUE DE BUSH 
 
 
 
"Malheur à ceux qui méditent l'iniquité, et qui forgent le mal sur leurs couches! Au point du jour ils l'exécutent, parce - qu'ils ont le pouvoir en main. Ils convoitent des champs et s'en emparent, des maisons, et ils les enlèvent; ils oppriment l'homme et sa maison, l'homme et son héritage
." 
Michée 2 :-2 
 
En 1988, la déconfiture de l'armée Soviétique en Afghanistan a laissé un grand vide dans cette région extrêmement riche en hydrocarbures. Juste après l'effondrement de l'Union Soviétique tant souhaité par les occidentaux, la Russie, l'Iran, la Turquie, l'Inde, la Chine et les États-Unis s'adonnent à une concurrence acharnée pour asseoir leur influence politique sur cette Asie Centrale visant principalement le contrôle des richesses locales, au détriment d'un Afghanistan à la pauvreté endémique. Bizarrement, ce dernier fut choisi en priorité par la Maison Blanche pour subir la déferlante guerrière aveugle et vengeresse des américains, sans aucune forme de procès, au lendemain des attentats du 11 septembre.  
 
Mai 2002. 
La nouvelle guerre d'Afghanistan n'est toujours pas finie, loin s'en faut. Alors que les contingents US s'implantaient autour de Kandahar, les troupes de l'Alliance du Nord, commandées autrefois par Feu le Commandant Massoud, ont atteint en février l'objectif qu'elles caressaient depuis fort longtemps, la prise de Kaboul la capitale afghane, grâce à l'aide logistique et matérielle de la Russie, chassant manu-militari les affreux talibans vers le sud. Cela n'était pas pour plaire aux généraux américains, car par ce fait accompli la présence de l'armée US sur le territoire afghan redevenait politiquement et stratégiquement illégitime, même indésirable.  
 
Avec quelques moyens, l'Alliance du nord se montrait capable de rétablir l'ordre, dans ce cimetière délabré qu'est l'Afghanistan, sans l'aide de bataillons militaires étrangers, malgré les consignes contraires qui lui avaient été dictées par les services secrets américains. A présent, les russes s'offraient l'opportunité d'installer une petite base aux portes de Kaboul. Donald Rumsfeld s'est retourné dix fois dans son fauteuil “pentagonal” à l'annonce de cette fâcheuse nouvelle

 
 
 
Pour la Maison Blanche, il fallait à tout prix évincer les russes pour qu'ils se détachent définitivement de l'Afghanistan. Outre l'imposition d'un Gouvernement provisoire afghan et la désignation de Hamid Karzay, un bi-national américano-afghan à la tête de cet exécutif, les stratèges du Pentagone optèrent pour une opération de diversion à l'endroit de la Russie
 
Des unités secrètes d'élites issues de la « Gray Fox » ( nouveau nom de code de l'« Intelligence Support Activity » ISA, créée en 1981 pendant l'ère Reagan-Bush et utilisée directement par le Conseil national de sécurité NSC pour des opérations clandestines ) formées dorénavant par le Pentagone pour lancer des "opérations couvertes" visant à "provoquer des réactions" de la part de certains groupes terroristes, sont dépêchées en Géorgie, dans les gorges de Pankissi, à la frontière avec la Tchétchénie.  
 
Depuis le 30 Avril 2002, dix-huit logisticiens américains sont déjà à l'ouvrage dans la capitale géorgienne, Tbilissi. A titre officiel, Washington accepte d'apporter son assistance au régime d'Edouard Chevardnadze, qui abandonnera son Pouvoir en Novembre 2003, pour former les troupes géorgiennes et combattre des « éléments liés à Al-Qaïda » réfugiés dans les gorges de Pankissi. Ce programme estimé environ à 65 millions de dollars, soit plus de trois fois le budget de la défense géorgie, est dirigé par une PMC Compagnie Militaire Privée, la MPRI Military Professional Ressources Inc, en contrat avec le Département de la Défense américain.  
 
Selon Nathalie Nougayrede : (...) En faisant état de liens entre certains combattants tchétchènes et les réseaux Al-Qaida, Washington a conforté le discours officiel du Kremlin sur la guerre de Tchétchénie, et désamorcé les éventuelles contestations russes. « Les Russes voulaient intervenir eux-mêmes en Géorgie depuis longtemps, mais ils ont été pris de vitesse par les Américains », résume un diplomate occidental qui, comme de nombreux observateurs dans la région, considère que la situation dans les gorges de Pankissi a servi de prétexte à une nouvelle avancée américaine sur les flancs sud de l'ex-URSS. « Poutine n'a rien pu dire. Moscou s'est laissé prendre au piège de sa propre rhétorique sur le «terrorisme tchétchène». 
 
Un autre motif, et non des moindres, est la menace que fait peser Vladimir Poutine, depuis près de deux ans, sur l'oligarchie russe pro-américaine pour l'éloigner du pouvoir économique et politique en Russie
 
 
 
 
En deux ans seulement, par cette délivrance inavouée induite par les évènements du 11 septembre 2001, les USA ont réussi l'occupation de l'Afghanistan, l'invasion illégale ostensiblement coloniale de l'Irak, l'isolement et l'étouffement progressif de l'Arabie Saoudite incitant le risque de bouleversement du marché pétrolier, la tentative de renversement du Gouvernement russe de Vladimir Poutine le poussant à un durcissement de la situation en Tchétchénie et même à un retour potentiel du totalitarisme en Russie, non sans omettre le paroxysme de leur honteuse duplicité avec le Gouvernement d'Ariel Sharon au détriment d'une solution de paix tant sollicitée par les deux peuples israélo-palestiniens dans ce Proche-Orient à la violence endémique.  
 
À qui le tour ? Les États-Unis, mettant à profit la crainte qu'ils ont suscité dans le monde arabe, s'octroient à présent le droit de tourmenter la politique économique de petits pays comme l'Algérie, pour la privatisation de son industrie pétrolière au bénéfice de sociétés texanes, insufflant la relance éventuelle d'une seconde guerre civile dans cette contrée d'Afrique du Nord. Profitant aussi de la corruption institutionnalisée au plus haut niveau de ce pays, ils ont installé une base militaire secrète dans l'extrême Sud algérien, à une centaine de kilomètres au Nord-Est de Djanet, tout près de l'endroit où un groupe de touristes allemands fut enlevé en 2003! La présence stratégique de cette base secrète US, toute proche de la frontière Sud-Ouest de la Libye, a favorisé la conclusion d'un accord, de démantèlement des armes de destructions massives, imposé au dirigeant libyen Mouammar Kadhafi par la Maison-Blanche et le gouvernement britannique. Il n'est pas injurieux d'espérer, qu'un jour prochain, Israël le Pakistan et l'Inde en fassent autant…  
 
Depuis l'effondrement de l'Union Soviétique et la transformation du bloc de l'Est en un magma de Nations prétendument européennes, mais inféodées outrageusement au conditionnement américain, toute résistance est vouée à l'échec face à cette barbarie US des temps modernes. L'Organisation des Nations Unies, qui jadis s'affichait avec plus ou moins d'indépendance en défendant le principe de multilatéralité, se doit de s'arcquebouter devant la magnificence unilatéraliste de son hébergeur. 
 
 
Décidément, l'effroyable crime contre l'humanité du 11 septembre 2001, exempté comme par enchantement exceptionnel de toute revendication politique ou terroriste et de toute investigation objective, a beaucoup mieux servi les intérêts des néo-conservateurs américains que les zombis afghans ou irakiens...  
 
Présenté tout d'abord comme une attaque terroriste de grande envergure, le choc du 11 septembre fut maquillé, quelques jours plus tard, en une confusion donnant à penser que le Pouvoir des États-Unis a été victime d'un coup d'état manqué, mais aussitôt après, la thèse du terrorisme islamiste reprit le dessus.  
 
 
 
En 1998, le Congrès américain, à l'initiative de la majorité républicaine, votait le "Iraki Libération Act" signé par Bill Clinton alors Président des États-Unis. Cette loi préconisait la destitution du "dictateur" irakien Saddam Hussein, par tout moyen de contrainte, en soutenant l'accession au Pouvoir en Irak à l'Iraqi National Congress, une instance en exil organisée par la CIA et dirigée par Ahmed Chalabi, celui-là même qui escroqua une banque jordanienne.  
 
Une telle option était pourtant contraire à la stratégie adoptée par l'administration Clinton. Certains membres du Congrès américain espéraient que la Loi sur la Libération de l'Irak allait aider à préparer une insurrection courant 1999, mais Bill Clinton avait d'emblée indiqué qu'il n'était pas question de soutenir militairement l'opposition irakienne.  
 
Le Sous-secrétaire à la Défense, Walter B. Slocombe avait clairement énoncé devant le Sénat, en janvier 1999, les limites du soutien américain à l'opposition irakienne : « Nous mettrons en place la Loi sur la Libération de l'Irak, mais nous le ferons en prenant compte des réalités de la situation. Personne ne doit sous-estimer les difficultés de la tâche qui consiste à apporter un changement au régime irakien ou le temps que cela peut prendre. Cela ne peut se faire en imposant un régime par la force militaire de l'extérieur, en admettant que cela soit possible, ce dont on peut douter fortement. De même, nous estimons que cela ne peut se faire par l'incitation à l'insurrection interne avant que les conditions d'un aboutissement positif d'une insurrection n'existent».  
 
Enfonçant le clou encore plus loin, le général Anthony C. Zinni, chef du commandement US pour la région Moyen-Orient/Asie Centrale, avait expliqué en ces termes: « Même si nous pouvions faire partir Saddam, par n'importe quel moyen, nous pourrions nous retrouver avec 15, 20, 90 groupes en compétition pour le pouvoir. Les effets que cela aurait à travers la région - puisque certains des problèmes en cause qui sont ethniques, culturels et religieux s'étendent au-delà des frontières irakiennes - pourraient déstabiliser davantage la région. » 
 
 
 
Le 11 septembre 2001 allait conférer, à Georges W. Bush, une rhétorique véhiculant une satisfaction non dissimulée au sein de son Administration, du Parti Républicain et du groupe des néo-conservateurs, un soulagement tant attendu
. Certes, les évènements de New-York et Washington n'ont pas été attribués au dictateur irakien, malgré l'absurde accusation faite à l'encontre de l'Irak par Ben Yamin Netanyahu le leader du Likoud israélien et ex-Premier Ministre d'Israël, mais l'institutionnalisation de la prétendue éternelle campagne « liberté immuable » pour la lutte anti-terroriste agréait la pratique du dispositif guerrier contre Baghdad
 
 
 
 
Il est évident que l'effroyable crime du 11 septembre 2001 a parfaitement servi l'ivresse de l'Administration américaine pour qui l'invasion militaire en Asie Centrale et en Irak s'en trouvait "miraculeusement" confortée. Il faut se rappeler toutefois une citation de Zbrigniew Brezinski - ancien Patron du Conseil National de Sécurité (NSC) américain : « La course à la puissance n'est pas un objectif susceptible de mobiliser les passions populaires, sauf dans des situations de menaces imminentes ou lorsque le bien-être intérieur est en cause ».  
 
C'est là que la réalité des évènements du 11 septembre 2001 prend toute son acuité. Toujours maintenu dans l'ignorance des projets secrets de la Maison Blanche, le peuple américain n'est pas enclin à se mobiliser pour une action militaire d'envergure à l'étranger, le Congrès des États-Unis n'apprécierait aucune rallonge budgétaire au bénéfice du Pentagone si les américains manifestent leur désapprobation pour un engagement des troupes US. Le peuple américain n'est pas foncièrement d'une nature belliciste, il est pareil aux autres peuples du Monde, c'est un fervent défenseur de la paix et de la justice.  
 
Les citoyens américains étaient catéchisés par l'invulnérabilité de leur pays, malgré les "petits attentats" de 1993 et 1995. Ils ne pouvaient, à aucun moment, s'imaginer que leur nation ferait l'objet d'une attaque de très grande envergure sur son propre sol. Ce sentiment est totalement compréhensible. Ni la première ou la seconde guerre mondiale, ni la confrontation réfrigérée avec l'ex-URSS, une congélation d'une soixantaine d'années qui aura coûté plus de treize mille milliards de dollars aux contribuables américains, ni les massacres au Vietnam, ni la Tempête du Désert en 1991, ni aucuns conflits provoqués sur tous les continents où les États-Unis étaient partie prenante n'ont asséné une répercussion aussi impressionnante que cette offensive diabolique sur leur World Trade Center, à l'intérieur de leur terre
 
En revanche, de nombreux services de renseignements savaient depuis longtemps déjà qu'une attaque attentatoire d'une amplitude démesurée allait se produire sur le sol des États-Unis. La CIA, le FBI, les services secrets français, israéliens, égyptiens, allemands, russes, britanniques, jordaniens, pakistanais... Ils se sont communiqués entre-eux toutes les informations dont ils disposaient pour que les autorités américaines prennent les mesures qui s'imposaient. Incroyablement, l'Administration US faisant la sourde oreille n'a daigné prendre la moindre précaution !  
 
 
 
Intrigué par ces listes où aucun nom arabe n'est inscrit, un ancien officier de la marine américaine, père de famille et bon chrétien, actuellement psychiatre dans un cabinet médical à la Nouvelle Orléans, a entrepris de nombreuses démarches, auprès du service médico-légal à l'Institut de recherches pathologiques des Forces Armées au Pentagone et des compagnies aériennes dont les appareils étaient impliqués dans les évènements de septembre 2001, dans le but d'obtenir la liste de tous les morts authentifiés. Quatorze mois plus tard, alors que les États-Unis avaient envahi l'Irak et que des milliers d'irakiens broutaient la racine des pâquerettes, comme il le décrit lui même, il reçut le fameux bordereau. Sa stupéfaction ne fut pas assez grande pour exprimer sa consternation devant l'absence de noms des terroristes affichés par le FBI...! 
 
Dans la promptitude, juste après l'effroyable forfaiture à New-York et Washington, la direction de l'information du Pentagone a confié les noms des présumés terroristes au FBI pour qu'il les diffuse. C'est bien le Département d'État de la Défense américain et le FBI qui ont dispatché les noms des terroristes "islamistes" sur chaque avion, sans concertation avec les compagnies aériennes concernées. Mais c'était aller trop vite en besogne, car la liste décrivant les 19 terroristes suicidés dans les attentats était fausse. Le mensonge voulant faire office de vérité a lamentablement échoué.  
 
Néanmoins, ne serait-ce que l'abjection d'une seule fausse accusation discrédite complètement la liste des 19 présumés terroristes que toute l'Administration américaine s'entête à présenter comme les coupables des attentats du 11 septembre 2001. Et avec une telle obstination, non seulement les États-Unis argumentent la perversité de leur projet "Shaping the Great Middle East" avec tout ce que cela comporte de danger de déstabilisation au Moyen-Orient, mais en prime ils goinfrent les rangs et la rhétorique nihiliste de l'extrémisme islamiste au détriment de la paix dans le monde musulman en premier lieu et dans la société occidentale ensuite!  
 
En référence aux valeurs exprimées dans la charte internationale sur les droits de l'homme, la perspicuité exige d'apprendre le lieu où sont retenus les autres présumés coupables, s'ils n'ont pas encore été assassinés! Dans quelle prison secrète de la CIA?  
 
Des spécialistes de l'univers ténébreux des services secrets, de nombreux agents retraités de la CIA et du FBI, même des agents du Mossad, sont tous unanimes pour attester que l'organisation et le déroulement des évènements du 11 septembre 2001 ne sont pas l'œuvre d'un commando "islamiste"
. James Woolsey, ancien directeur de la CIA, a déclaré que le degré élevé de coordination et de préparation des attentats aurait nécessité la participation d'un "État disposant d'une infrastructure militaire et technique très avancée"
 
 
 
"La trahison s'assied à nos banquets, elle brille dans nos coupes, elle porte la barbe de nos conseillers, elle affecte le sourire de nos courtisans et la gaieté maligne de nos bouffons; par-dessus tout, elle se cache sous l'air amical d'un ennemi réconcilié." 
Walter Scott 
 
Après une diligente et vaste opération de recherche, aux alentours de 16h30, les policiers armes aux poings ont intercepté le fameux fourgon qui roulait à vive allure entre le pont de Hackensack et l'hôtel Sheraton, sur la route numéro 3 dans Rutherford près du ''Giant's Stadium'' du New-Jersey. Un des policiers a tiré une balle de son revolver sur le véhicule pour que celui-ci freine sa course. Cinq hommes âgés entre 23 et 27 ans, portant des combinaisons de travail frappées du sigle ''Urban Moving'', sont sortis du fourgon et immédiatement menottés par les agents.  
 
Les officiers de police de Rutherford ont fait brièvement appel à la brigade cynophile du Comté. Après une énergique mais minutieuse fouille, les policiers dégagèrent 4700 dollars dissimulés dans une chaussette que portait l'un des hommes appréhendés, il saisirent aussi une boite en carton contenant plusieurs cutters avec deux passeports étrangers et les chiens, dressés pour détecter des engins explosifs, ont vigoureusement réagi comme s'ils sentaient les traces d'une matière explosive. Mais aucune bombe n'a été trouvée dans le véhicule. Les policiers n'étaient pas au bout de leur surprise lorsqu'il apprirent que les cinq hommes étaient... de nationalité israélienne !  
 
Le conducteur du fourgon, Sivan Kurzberg, se débattant et vociférant des insultes, a indiqué aux officiers du FBI arrivés sur place: « Nous sommes israéliens. Nous étions sur la route longeant la rive occidentale de l'Hudson lorsque le World Trade Center a été attaqué. Nous sommes vos amis. Vos problèmes sont aussi les nôtres. Les Palestiniens sont pour nous le seul et véritable problème ! » Les autres passagers, du fourgon blanc de la société ''Urban Moving'', étaient son frère Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari.  
 
Suspectés d'avoir fourni une couverture à une opération secrète israélienne liée aux attentats de New-York, les cinq individus furent transférés, pour une garde à vue, au centre métropolitain de détention à Brooklyn avec comme motifs : visas de tourisme périmés et absence de permis de travail.  
 
Steven Gordon, l'avocat des cinq israéliens, a reconnu que l'affaire paraissait très délicate: « Il est vrai, dit-il à un correspondant de ABC-News , que le comportement de mes clients a éveillé des soupçons sur eux quant au lien qu'ils auraient eu avec les attentats du 11 septembre. De jeunes hommes agrippés sur un toit de fourgon prenant des photos de l'attaque des Twin Tower, détenant une forte somme d'argent en billets de banque, deux passeports étrangers, une boite de cutters et avouant leur nationalité israélienne, en effet cela pourrait donner à penser à une situation effroyable en imaginant leur implication dans ces attentats. Toutefois, je persiste et insiste que se sont de jeunes garçons venus visiter les États-Unis en touristes, qu'ils ont travaillé dans une petite entreprise américaine pour se faire un peu d'argent et que, par coïncidence, ils ont photographié les tours jumelles en feu. Est-ce vraiment suffisant pour les inculper et les emprisonner ? » 
 
Après deux semaines de détention, le Juge américain, chargé des questions sur l'immigration, signa la levée d'écrou au profit des cinq prévenus et leur expulsion vers Israël. Aussitôt sortis de prison, les cinq jeunes hommes furent appréhendés par la CIA qui les a retenu pendant plus de soixante-dix jours. Celle-ci avait retrouvé, dans les bases de données informatiques du FBI, deux noms appartenant à deux des mis en cause listés comme agents du Mossad. Déchiffrer la raison exacte et l'activité, de ces agents du Mossad dans le New -Jersey, s'avérait très difficile pour les services de renseignements américains. Paul Kurzberg, l'un des espions rejetait énergiquement et systématiquement son passage au détecteur de mensonges, durant près de dix semaines, prétextant refuser la divulgation forcée, par cet appareil, des missions ultra-secrètes qu'il avait effectué à l'étranger pour le compte d'Israël.  
 
La mère d'un des suspects affirmait dans le Jérusalem Post: « quand ils ont finalement laissé mon fils émettre un appel téléphonique pour la première fois à un ami aux États-Unis, il y a deux jours, il lui a dit qu'il avait été torturé par le FBI dans un sous-sol, il a été dépouillé de tous ses vêtements, tout nu, on lui a bandé les yeux et il a été interrogé pendant 14 heures. Ils pensaient qu'il travaillait pour le Mossad. »  
 
L'Exécutive Intelligence Review a révélé publiquement la présence, avant les attaques du 11 septembre 2001, d'équipes d'agents secrets israéliens sur le sol américain. Comment les Israéliens avaient-ils été prévenus de ces attentats ? Une haute personnalité à Washington a exprimé des propos selon lesquels les agences de renseignement américaines soupçonnaient Ariel Sharon, Premier Ministre d'Israël, d'avoir envoyé des équipes d'opérations spéciales aux États-Unis. Cette suspicion fut émise lors de l'adoption des mesures d'extradition des cinq espions Israéliens, arrêtés le 11 septembre, démasqués par leurs comportements suspects alors qu'ils filmaient sur le toit d'un fourgon à Hoboken dans le New Jersey, les tours du World Trade Center en flammes. Les visas des cinq hommes n'étaient plus valables alors qu'ils travaillaient pour une entreprise de déménagement. Ils étaient donc présents aux États-Unis depuis bien longtemps !  
 
Au fil des heures qui ont suivi les évènements de ce mardi inoubliable, la DIA Défense Intelligence Agency exclusivement militaire et le FBI rassemblaient une quantité impressionnante d'informations sur l'activité d'espionnage, la plus agressive de la part d'un allié, exercée à la même période par plus de 120 agents du Mossad aux États-Unis. Au point qu'un responsable des enquêteurs s'est permis de déclarer officiellement à la presse : « Les éléments de preuves liant ces espions israéliens au 11 septembre sont classifiés, je ne peux rien vous dire sur les éléments compilés. C'est de l'information classifiée ! ». Autrement dit ces informations sont placées sous le sceau du secret absolu, secret défense ! 
 
Quelques semaines plus tard, la pression chantante d'Ariel Sharon allait s'amplifier allègrement comme une vieille symphonie bavaroise à Jénine, Ramallah, Bethléem... sans la moindre réaction de réprobation de la Maison-Blanche, d'ailleurs celle-ci ne parvient même plus à imposer un quelconque plan de paix israélo-palestinien, car systématiquement rejeté avec arrogance et orgueil par Ariel Sharon et son équipe Gouvernementale. 
 
 
-0-0-0- 
 
Toutes les enquêtes subjectives parrainées par différentes instances de l'Administration américaine font simplement ressortir l'incompétence, l'incapacité et l'irresponsabilité de la majorité des services de l'État. Ces investigations ressemblent plus à un hammam où chacun élimine la crasse sanguinaire de son collègue ou de son complice, ignorant cyniquement le respect dû aux 3500 victimes innocentes convoyées malgré elles comme de la chair putréfiée dans les compartiments de la mort !  
 
 
"Il existe infiniment plus d'hommes qui acceptent la civilisation en hypocrites, que d'hommes vraiment et réellement civilisés." 
Sigmund Freud 
 
-0-0-0- 
 
Depuis 1990, le Ministère de la Défense des États-Unis a sensiblement réduit son personnel militaire passant de 2 millions d'individus à 1,4 million, en application du plan militaire de privatisation recommandé par l'ex- Secrétaire à la défense Dick Cheney et actuel Vice-Président américain. L'espace libéré ainsi à été réinvesti par ce qu'il est familièrement appelé ''les Compagnies Militaires Privées ou PMC's''.  
 
Mais à la différence des Forces Armées régulières, ces entreprises privées anonymes ne sont pas responsables devant le Congrès et de plus, dangereusement et difficilement maîtrisables mais contrôlées par le Pentagone. Le résultat est que ces compagnies militaires privées ajoutent un voile supplémentaire sur le secret des activités militaires américaines. Un ancien directeur d'Enron, membre influant du Pentagone, encourage davantage la privatisation de l'armée. Il envisage de faire progresser sensiblement le nombre de contrats confiés au secteur privé en tant qu'élément d'un ''Third Wave'' troisième voie, sans nécessairement informer le Congrès des États-Unis.  
 
Des 30 membres du conseil politique de défense au Pentagone, un groupe de consultants désigné par le Gouvernement, au moins neuf, dont le Président du conseil Richard Perle qui a démissionné le 27 mars 2003, ont des liens très rapprochés avec ces Compagnies Militaires Privées, dont le chiffre d'affaires a atteint plus de 76 milliards de dollars sur des contrats pour la défense entre 2001 et 2002. Les membres du conseil déclarent annuellement leurs intérêts financiers et commerciaux au Pentagone, mais ces déclarations ne sont pas communiquées au public.  
Plus de 70 Compagnies américaines ont obtenu un chiffre d'affaires global de 8 milliards de dollars sur des contrats d'interventions en Irak et en Afghanistan. Ces compagnies avaient investi plus d'argent pour la campagne Présidentielle de George W. Bush qu'avec n'importe quel autre candidat au cours des douze dernières années. Kellogg Brown & Root Inc. filiale de la Société Halliburton dirigée par Dick Cheney avant qu'il ne soit nommé Vice-Président des États-Unis, s'est vue offerte des contrats supérieurs à 2,3 milliards de dollars pour l'Afghanistan et l'Irak. En second arrive le groupe Bechtel, lui aussi lié au plus haut niveau Gouvernemental, avec des contrats de 1,03 milliards de dollars. 
 
Autrement dit, des sociétés telle que Northrop Grumman Mission System connue pour avoir conçu des avions comme le Tomcat F14 ou le bombardier furtif B-2, ou encore le drône Global Hawk, dispose en plus de son activité technologique et commerciale, des unités de mercenaires parfaitement performants et adaptés aux missions tant logistiques que de combats. Tous ces services militaires à caractère offensif, ou tout au moins en majorité, proposés par ces sociétés désignées officiellement PMC's Private Military Companies, sont financés par des fonds secrets.  
 
L'après 11 septembre 2001 fut marqué par un renforcement et une modification de la législation au profit d'une plus grande utilisation des Compagnies Militaires Privées. En considérant la présence des paramilitaires, il devient évident que les acteurs privés occupent dorénavant une place de premier plan dans les conflits menés par les États-Unis en Afghanistan et en Irak. 
 
L'éthique même de cette privatisation va systématiquement à l'encontre des fondements démocratiques, dans une Nation qui se prétend civilisée. Cette logique fait naturellement penser à d'autres organisations paramilitaires ou maffieuses qui opèrent dans le Monde. Sitôt la guerre d'Irak prématurément déclarée terminée, des dizaines de Sociétés et de Compagnies Militaires Privées se sont ruées et bousculées au portillon décadent du contractant, le Pentagone, comme des hyènes poisseuses affamées et avides se jetant, la bave dégoulinante, sur la charogne en décomposition. Même de soi-disant respectables collectionneurs d'art se sont associés à cette mêlée macabre, pour tenter de récupérer les trésors de Babylone éparpillés par des pillards soudoyés !  
 
Une illustration : Northrop Grumman Mission System est l'une des Compagnies Militaires Privées qui a vraisemblablement participé aux opérations du 11 septembre. Donald C. Winter est Vice-Président de Vinnell appartenant au Groupe Carlyle, mais il est aussi Président de Northrop Grumman Mission System, ancien dirigeant des programmes avec le Défense Advanced Research Projects Agency du Pentagone (DARPA) de 1980 à 1982. Le DARPA a conçu le système de batterie d'asservissement dont le programme a été lancé dès les années 70, pour contrecarrer un éventuel détournement d'avion en soumettant celui-ci à une capture par télépilotage à partir d'une station au sol. Le Vice-Président de Northrop Grumman Mission System est un ancien directeur adjoint de la CIA de 1992 à 1995 et s'est retiré du Pentagone avec le grade d'Amiral de l'US-Navy. Northrop Grumman Mission System est un très grand groupe industriel américain, constructeur d'avions militaires de très haute technologie, et en plus il dispose d'unités spéciales militaires privées incontrôlables par le Congrès des États-Unis. Par ses attributions ce groupe industriel est métamorphosé en Compagnie militaire privée, une PMC. Ses contrats lui sont exclusivement accordés par le Pentagone et la CIA. Ces derniers n'ont plus besoin de se fourvoyer directement dans des actions clandestines ou illégales au risque d'être sanctionnés par le Congrès ou l'opinion publique, ils délèguent ces basses oeuvres aux PMC's en puisant dans les fonds secrets toujours bien voluptueusement alimentés. 
 
 
"Notre Dieu est grand et l'argent est son prophète. Pour ses sacrifices, nous dévastons la nature entière. Nous nous vantons d'avoir conquis la matière et nous oublions que c'est la matière qui a fait de nous ses esclaves." 
Okakura Kakuzo 
 
-0-0-0- 
 
 
Après des semaines de bombardements intensifs en Afghanistan, avec l'assentiment de Donald Rumsfeld Ministre de la Défense et surtout de Paul Wolfowitz Secrétaire d'État adjoint à la Défense, la Maison Blanche cherchait à étendre le conflit afghan à d'autres pays musulmans, en commençant par l'Irak bien sûr, quitte à faire paraître la ''guerre contre le terrorisme et les armes de destructions massives'' comme une énième guerre mondiale.  
 
Henry Kissinger, le fourbe stratège des basses besognes toujours en activité, déclarait le 31 octobre 2001 à Londres : « La paix avec l'Islam est impossible. Il y a une différence fondamentale avec l'Islam, que peut-être seuls la Grande Bretagne et l'Amérique peuvent comprendre. » Deux simples phrases, révélant des sentiments ignobles, qui en disent long sur les véritables intentions et projets de l'Administration américaine !  
 
À entendre un tel discours, bientôt les musulmans devront broder une étoile verte à cinq branches sur leurs vêtements ! 
 
Et c'est là où réside le fossé d'incompréhension né après le 11 septembre 2001. Ce n'était pas une guerre contre le terrorisme que les USA engagèrent en Afghanistan, mais bel et bien un conflit généralisé contre les pays musulmans ou au détriment de ces derniers, avec comme perspective la provocation sur fond voilé d'un choc des civilisations, voire même d'une nouvelle et absurde guerre de religions basée sur le dédain d'un des trois cultes monothéistes, incitant à une islamophobie qui se propage dans une proportion très inquiétante pour la paix mondiale. 
 
À cet égard, l'acharnement médiatique accentue ce phénomène, diffuse des amalgames subtilement dissimulés dans une subliminale culpabilisation, attise les tensions et les confrontations dans un enveloppement sulfureux et subjectif. 
 
Pourtant, quelques mois seulement avant qu'il ne prononce ces mots insultants, Kissinger s'est beaucoup dépensé pour empêcher que l'Afghanistan et ses affreux dirigeants talibans soient considérés comme des parrains du terrorisme ! Il était même chargé par la compagnie pétrolière Unocal de faire pression sur le département d'État, afin d'empêcher toute sanction contre l'Afghanistan, de manière à ne pas perturber les projets de la compagnie prévoyant la construction d'un oléoduc traversant le territoire afghan.  
 
-0-0-0- 
 
 
Mais dès le 11 septembre, les prises de positions changèrent et Henry Kissinger, tout comme un certain nombre d'anciens parrains et défenseurs des talibans barbares, tentèrent de se couvrir en réclamant haut et fort une intensification des bombardements du territoire afghan. Cependant, ce n'est pas en bombardant intensément un pays entier, que les américains parviendront à éradiquer ce terrorisme dont ils sont eux-mêmes les promoteurs avec l'aide de leurs alliés de l'époque, l'Arabie saoudite et le Pakistan. 
 
Tout le monde sait à présent qu'Oussama Ben Laden, ce démon hypocrite de l'Islam, fut recruté en 1979 à Istanbul par la CIA en tant qu'élément NOC, Non Official Cover, pour appeler au jihad contre les envahisseurs soviétiques et encadrer des légions hétéroclites de combattants musulmans, provenant de très nombreux pays et même des États-Unis, puis formés aux techniques de combats par les unités clandestines de la CIA. Après avoir chassé l'URSS d'Afghanistan, selon les prévisions planifiées par l'ancien conseiller Présidentiel américain Zbigniew Brzezinski, la grande majorité des combattants de l'Islam sont retournés chez eux, laissant un Afghanistan en proie à un long et cruel conflit interne dont les talibans sortiront vainqueurs.  
Au plaisir des américains mais au grand dam des afghans qui subiront l'application d'une lecture rétrograde de l'Islam, les talibans régnèrent inhumainement sur ce territoire qu'il transformèrent en un laboratoire d'islamisation intégriste, extrémiste et sauvage contraire aux valeurs coraniques et à la philosophie du message prophétique. Les 8 000 à 12 000 mercenaires d'Oussama Ben Laden, dès leur retour, semèrent les graines de la discorde dans plusieurs pays musulmans, comme au Soudan, en Egypte, aux Philippines et surtout en Algérie où ils importèrent leur savoir-faire criminel dans les maquis du GIA - groupement islamique armé. 
 
Dès la fin de la guerre du Golfe en 1991, pour le milliards et demi de croyants musulmans du Monde, les actions terroristes de cette microscopique minorité d'extrémistes fous furieux véhiculèrent une image profondément négative de l'Islam, ce qui facilitera grandement l'expansion des projets américains, correspondant ainsi parfaitement aux plans à longs termes des néo-conservateurs.  
 
Oussama Ben Laden, toujours membre actuel de la CIA, fera figure de grand Satan de l'occident pendant que des sociétés américaines, telle que Halliburton dirigée par Dick Cheney avant qu'il ne soit nommé Vice-Président des États-Unis, se tailleront la part du lion dans des contrats pétroliers et gaziers avec de nombreux pays comme l'Algérie, lorsque celle-ci se débattait dans une guerre civile atroce et barbare faisant plus de 100000 victimes civiles.  
 
Cette instrumentalisation éhontée de l'islamisme par l'Administration américaine prendra fin au lendemain des attentats du 11 septembre. Dès lors, en l'absence d'un antagoniste ayant les capacités de défiance envers la puissance américaine, l'Islam est choisi pour représenter non plus une religion monothéiste universelle, mais malgré lui une entité idéologique et politique comme au temps de la guerre froide face au communisme soviétique. Une destinée que les musulmans n'apprécient guère, se montrant méfiants, et pour cause, des velléités américaines. Culpabilisés et responsabilisés injustement par les évènements du 11 septembre, puis par les attentats survenus depuis lors, attribués distinctement et globalement à des groupes terroristes islamistes, le monde des fidèles musulmans se cantonne dans une posture expectative et fataliste. Ni les bombardements dévastateurs et inhumains américains sur l'Afghanistan, ni la recrudescence des représailles asymétriques de l'armée d'Ariel Sharon sur les populations palestiniennes, n'ont provoqué la moindre réaction protestataire de grande envergure des peuples musulmans à l'endroit des États-Unis ou même encore vis à vis de leurs propres gouvernants.  
 
Constatant cette anesthésie générale des pays musulmans et soucieux d'appliquer sans tarder leurs programmes, la colonisation de l'Irak et le ''Shaping the Great Middle East'', Réforme du Grand Moyen-Orient envisagés par les néo-conservateurs américains, les États-Unis recadrèrent médiatiquement tous les actes terroristes sur une mouvance principale virtuelle nommée El Qaïda, un terme arabe signifiant la base.  
 
Ce n'est pas en combattant avec des armes disproportionnées contre le terrorisme international que celui-ci disparaîtra, mais bien par des efforts de paix, par l'enseignement pacifique de la démocratie, dans l'abandon du soutien politique à des régimes despotiques, autoritaires ou totalitaires, par l'aide économique et sanitaire. Malheureusement, ces efforts ne sont pas à la mesure intellectuelle des néo-conservateurs américains.  
 
Des stratagèmes cupides, aussi odieux les uns que les autres, s'activent sans cesse pour arracher au plus pauvre ce que le riche s'emploie à cumuler et à gaspiller ! Il ne reste que les mots, pudiquement silencieux, pour éponger les ressentiments, le désespoir et les peines. 
 
-0-0-0- 
 
 
Il fut un temps où la paix au Proche-Orient était à deux doigts de se concrétiser, grâce à la clairvoyance d'un Général israélien, le regretté Premier Ministre Yitzhak Rabin, assassiné par un extrémiste juif. Depuis, plusieurs milliers de victimes israéliennes et palestiniennes ont perdu la vie dans un cycle infernal d'attentats et de représailles, de provocations et d'humiliations, de révoltes et de destructions et encore d'attentats et de représailles, dans une confrontation perpétuelle entre des sémites israéliens et des sémites palestiniens. Pourtant les israéliens comprennent et parlent la langue arabe. Pourtant les palestiniens comprennent et parlent l'hébreu. Et ce qui est révoltant, c'est qu'ils ne parviennent pas à fonder deux nations côte à côte sur la base d'un plan de paix mutuellement accepté. Qui en est la cause ? Les extrémistes juifs, les extrémistes palestiniens et tous les extrémistes du Monde qui attisent la haine des deux peuples et se délectent insatiablement à la vue de ces corps mutilés et déchiquetés, ensanglantés dans une indifférence intéressée réjouie et jouissive !  
 
Bon Dieu, le sang n'a t'il pas suffisamment coulé dans cette contrée foulée jadis par les pieds des fils d'Abraham, par Moïse, par Jésus et par Mohammed ? Les graines de la paix, de la liberté et de l'amour, semées par les prières et arrosées par les suppliques de ces Hommes du Tout Puissant, n'ont-elles pas encore germé ?  
 
Combien d'enfants, de femmes et d'hommes seront-ils encore sacrifiés pour espérer voir enfin les mains des palestiniens et des israéliens se joindre et se serrer fraternellement, sinon amicalement ? Mais ce n'est certainement pas en fermant les yeux sur la construction du ''mur de la haine'', décidée par le Gouvernement d'Ariel Sharon, ni en prenant partie pour l'Autorité israélienne ou pour l'Autorité palestinienne que l'on parviendra à entrevoir cet espoir de réconciliation entre ces deux peuples !  
 
A l'opposé de ce que peuvent penser certains, il est bien plus facile de faire la paix que la guerre ! 
 
Plus de 6 000 morts civils en Israël et en Palestine depuis 2001, plus de 3 500 morts civils dans les attentats du 11 septembre 2001, plus de 10 000 morts civils dans les bombardements de l'aviation américaine en Afghanistan, près de 50 000 morts civils dans l'invasion guerrière américaine en Irak, plus de 1 000 morts civils dans les attentats à travers le monde qui ont suivi les évènements du 11 septembre,...  
 
Vous qui lisez ces chiffres êtes-vous sincèrement et profondément bouleversés ? Permettez-moi d'en douter.  
 
Pour tenter d'arrêter ces drames continuels, nous avons le devoir, nous français et européens, d'encourager la Nation américaine à écarter de son Pouvoir tous ses extrémistes suicidaires néo-conservateurs, à l'image de notre citoyenne réaction face à la percée inattendue du ''front national'' en mai 2002. Ensuite, nous accorderons notre égide au Pacte de paix israélo-palestinien de Genève qui paraît cohérent et juste.  
 
-0-0-0- 
 
Car l'évidence est maintenant acquise. Grâce à une combinaison diaboliquement malfaisante et meurtrière, par l'utilisation d'une technologie aéronautique extrêmement pointue associée à une vaste action d'influence et de désinformation, enveloppée d'une monumentale duperie, l'Exécutif américain est presque parvenu à manipuler et à tromper l'opinion publique mondiale sur les réelles circonstances du 11 septembre 2001. Il n'existe pas de crime parfait.  
Un stratège chinois, Sun Tzu, écrivit il y a maintenant près de 2500 ans une compilation d'enseignements sur l'art de la guerre, universellement appréciée au sein des académies militaires du monde entier, notamment aux États-Unis, dont voici un très bref extrait à méditer : " Tout l'art de la guerre est basé sur la duperie. C'est pourquoi, lorsque vous êtes capables, feignez l'incapacité ; actifs, la passivité. Proches, faites croire que vous êtes loin, et loin que vous êtes proches. Appâtez l'ennemi pour le prendre au piège ; simulez le désordre et frappez-le ". 
 
Un cœur miséricordieux et compatissant est le principe de l'Humanité ; le sentiment de la honte et de l'aversion est le principe de l'équité et de la justice ; le sentiment de l'abnégation et de déférence est le principe des usages sociaux ; le sentiment du vrai et du faux ou du juste et de l'injuste est le principe de la sagesse. 
pontcallec@yahoo.fr 
Romain Guer 
 
Source : Lien vers http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18099 
(c) Adriana EVANGELIZT - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 30.10.2004
- Déjà 16179 visites sur ce site!